(ici le manuscrit est brûlé et illisible sur plusieurs pages)
… la joie, de sorte avant que nul ne pourra être malheureux sans savoir comment remédier à son état et que tristesse d’âme, mélancolie et grand désespoir seront pour ainsi dire non pas effacés mais comme peu à peu oubliés de l’état des êtres du monde, et jusqu’à l’affliction de notre mortelle condition.